Comparison of two dung count methods for estimating elephant numbers at Kakum Conservation Area in southern Ghana

Authors

  • Yaw Boafo
  • Mildred Manford
  • Richard F.W. Barnes
  • Emmanuel M. Hema
  • Emmanuel Danquah
  • Nandjui Awo
  • Umaru-Farouk Dubiure

DOI:

https://doi.org/10.69649/pachyderm.v45i.164

Abstract

The efficiency of meandering transects—in terms of accuracy, precision and effort required for estimating elephant abundance—was evaluated in the Kakum Conservation Area in Ghana. Four consecutive elephant dung surveys were carried out between February 2000 and February 2002 using meandering transects. The resulting dung density estimates were adjusted by applying a correction factor calculated from matched pairs of meandering transects and standard line transects. The meandering transects required less effort and took 40% less time than line transects and were preferred by the park’s staff, but these gains must be balanced against the loss in precision. Elephant densities were estimated from the dung densities with a rainfall model. Empirical and analytical methods were compared for estimating the precision of the elephant estimate. The analytical method returned a more precise estimate for the merged estimate, which was 161 elephants (95% CI from 104 to 249). A genetic survey of the same population by Eggert et al. (2003) using the accumulation method gave a similar estimate of 170 elephants (95% CI from 96 to 270).

L’efficacité des transects en serpentin a été évaluée dans la Région de Conservation de Kakum au Ghana pour estimer l’abondance des éléphants en termes d’exactitude, de précision et de l’effort exigé. Quatre études consécutives d’excréments des éléphants ont été réalisées entre février 2000 et février 2002 en utilisant le transect en serpentin. Les estimations résultant de la densité des excréments ont été ajustées en appliquant un facteur de correction calculé à partir des paires de transects en serpentin et des transects linéaires standards. Les transects en serpentin exigeaient moins d’effort et prenaient 40% moins de temps que les transects linéaires et le personnel du parc les préféraient, mais ces gains doivent être équilibrés contre la perte en la précision. On a estimé les densités des éléphants par le biais des densités des excréments avec un modèle des pluies. Les méthodes empiriques et les méthodes analytiques ont été comparées pour estimer la précision de l’estimation des éléphants. La méthode analytique a donné une estimation plus précise pour l’estimation fusionnée qui était de 161 éléphants (95% CI de 104 à 249). Une étude génétique de la même population par Eggert et al. (2003) en utilisant la méthode d’accumulation a donné une estimation semblable de 170 éléphants (95% CI de 96 à 270).

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Published

2009-06-30

How to Cite

Boafo, Y., Manford, M., Barnes, R., Hema, E., Danquah, E., Awo, N., & Dubiure, U.-F. (2009). Comparison of two dung count methods for estimating elephant numbers at Kakum Conservation Area in southern Ghana. Pachyderm, 45, 34–40. https://doi.org/10.69649/pachyderm.v45i.164

Issue

Section

Research