Elephant effect on forest physical structure and plant species composition in Salonga and Malebo (Lac Tumba landscape), Democratic Republic of Congo

Authors

  • Bila-Isia Inogwabini
  • Mafuta Ngama-Nkosi
  • Lisalama Wema-Wema
  • Lisalama Wema-Wema
  • Mbende Longwango

Abstract

Data on the ecology of forest elephants are difficult to find. Therefore studies of forest elephant ecology are needed to support the species’ management. With that perspective in mind, data on forest understorey types and key plant species that elephants feed on were collected in Salonga National Park (1996–2002) and Malebo (2006–2010), Democratic Republic of Congo. The objective of the study was to document the physical effects of elephants on understorey species and the relationship between elephant trails and elephant-dispersed plant species. About 94% of the openness of the understorey in Salonga National Park positively related with elephant abundance. Elephant trails influenced the distribution of plant species that elephants feed on at Malebo. Plant species whose fruits are eaten (and therefore dispersed) by elephants declined within 20 m of the trail centre while those on whose leaves elephants browsed increased, creating opposed gradients. Three optimum points were described, suggesting that trails move over time within a given width. Projecting the trends given by the gradient equations, a fourth optimum point would be reached at 76 m from the centre at which both types of plant species would be zero. We concluded that 150±2 m distance would define the minimum width of corridors connecting disconnected large elephant habitats.

Additional keywords: open understorey, elephant trails, fruit plant species

Les données sur l’écologie de l’éléphant de forêt sont difficiles à trouver. Ainsi, les études sur l’écologie de l’espèce sont nécessaires pour la gestion de l’espèce. Dans cette optique, les données ont été ainsi collectées sur les types de sous-bois et les espèces de plantes alimentaires clés pour les éléphants dans la Salonga (1996–2002) et Malebo (2006–2010), République Démocratique du Congo. L’objective de l’étude fut de documenter les effets physiques de la présence des éléphants sur les sous-bois et la relation entre les pistes des éléphants et les espèces de plantes qu’ils dispersent. Environ 94% de l’ouverture des sous-bois dans le Parc National de la Salonga fut positivement liée à l’abondance des éléphants. Les pistes d’éléphant influencent la distribution des plantes sur lesquelles se nourrissent les éléphants de Malebo. Les nombres de plantes dont les fruits sont consommés (donc dispersés) par les éléphants baissent dans une bande de 20 m du centre de la piste tandis que ceux des plantes dont les feuilles sont consommées par les éléphants croissent, créant ainsi deux gradients opposés. Trois points optimums ont été décrits, suggérant que les pistes d’éléphants fluctuent au cours du temps dans une bande donnée. En projetant les tendances issues des équations de ces deux gradients, un quatrième optimum est inféré à 76 m du centre des pistes auquel point les deux types de plantes seraient zéro. Sur base de cette donne, nous avions conclu que la bande minimale pour des corridors reliant les habitats fragmentés des éléphants serait autour de la distance de 150±2 m.

Mots clés supplémentaires : sous bois ouvert, pistes des éléphants, espèces des plantes fruitiers

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Published

2013-06-30

How to Cite

Inogwabini, B.-I., Ngama-Nkosi, M., Wema-Wema, L., Wema-Wema, L., & Longwango, M. (2013). Elephant effect on forest physical structure and plant species composition in Salonga and Malebo (Lac Tumba landscape), Democratic Republic of Congo. Pachyderm, 53, 28–37. Retrieved from https://pachydermjournal.org/index.php/pachyderm/article/view/321

Issue

Section

Research