Coupling African elephant movement and habitat modeling for landscape availability-suitability-connectivity assessment in Kruger National Park
DOI:
https://doi.org/10.69649/pachyderm.v58i.422Abstract
Making an appropriate conservation decision often requires understanding the functional connectivity of the landscape for focal species. Graph theory and continuous surface methods have become powerful tools to quantify landscape connectivity for animal movement. However, a key limitation of these methods is the use of thresholding to define either habitat patches or links between patches.
We explore how to incorporate African elephants’ (Loxodonta africana) movement data into an “Availability-Suitability-Connectivity (ASC)” framework which integrates habitat suitability modeling and graph-based network analysis, and how to implement connectivity results to inform conservation management that addresses locally intensive habitat utilization by elephants. In our ASC analysis, node availability was identified by satellite imagery classification and node suitability was estimated by MaxEnt model. Links were determined by effective movement between nodes in three days. Differences of Integrative Index of Connectivity (dIIC) and its fractions were calculated to prioritize patch importance, which were then used for mapping an example landscape management zones to reduce elephant local ecological impact. In total, 544 nodes and 1345 links were identified in the landscape graph. Although suitable nodes were spread across the landscape, elephants intensively used habitat at the central area. Our zone map demonstrates areas for landscape management that can facilitate elephant range expansion. The integrative framework quantified the ASC interactions between animal movement and landscape features. The results highlight the potential for coupling geographic and ecological methods to effectively identify and focus conservation efforts.
Prendre une décision de conservation appropriée demande souvent une compréhension de la connectivité fonctionnelle du paysage pour l’espèce en question. La théorie graphique et les méthodes de surface continue sont devenues des outils puissants capables de quantifier la connectivité du paysage pour le mouvement des animaux. Cependant, une limitation de ces méthodes est l’utilisation de l’indexation pour définir les petites zones d’habitat ou les liens entre ces zones. Nous explorons comment l’on peut inclure les données sur le mouvement des éléphants africains (Loxodonta africana) dans un cadre de “Disponibilité-Pertinence-Connectivité (DPC)” qui intègre la modélisation qui mesure si l’habitat est convenable avec une analyse du réseau graphique et comment l’on peut mettre en œuvre les résultats de connectivité pour influencer les gestionnaires de la conservation qui s’occupent de l’utilisation intensive de l’habitat par les éléphants. Dans notre analyse DPC, la disponibilité nodale a été identifiée par la classification d’imagerie satellitaire et la pertinence nodale a été estimée par le model MaxEnt. Des liens ont été déterminés par le mouvement effectif entre les nœuds en 3 jours. Les différences des Indices Intégratifs de Connectivité et ses fractions ont été calculées pour prioriser l’importance des zones ce qui a été par la suite utilisé pour cartographier un exemple des zones de gestion du paysage afin de réduire l’impact local et écologique des éléphants. En tout, 544 nœuds et 1345 liens ont été identifiés sur le graphique du paysage. Même si des noeuds étaient répartis à travers le paysage, les éléphants utilisaient surtout l’habitat dans la zone centrale. Notre carte des zones montre des endroits pour la gestion du paysage qui pourraient faciliter l’agrandissement de l’habitat des éléphants. Le cadre intégratif a quantifié les interactions DPC entre le mouvement des animaux et les caractéristiques du paysage. Les résultats mettent en lumière le potentiel de combiner les méthodes géographique et écologique afin d’identifier et focaliser de façon efficace les efforts de conservation.