The effects of elephants and fire on vegetation at Marakele National Park, South Africa

Authors

  • Piet J van Staden
  • Hugo Bezuidenhout
  • Sam Ferreira
  • George J Bredenkamp

Abstract

Elephants and fire can modify African savanna ecosystems. The authors evaluated the influence that elephants and fires had on five mountainous plant communities in Marakele National Park. These plant communities were surveyed from 1996 to 2010 with the first sampling in 1996 in the absence of elephants. Initially thirty-nine elephants, introduced in 1996, increased to 150 by 2010 while fires occurred roughly every second year. Over this period vegetation changed and in four of the five cases these associated with structural damage indices, assumed to reflect the effects of elephants. Fire played a role in one of the five mountainous plant communities. The expansion of areas available for elephants partially resulted in halting vegetation changes. The authors conclude that existing resource gradients still impose intensity of use by elephants that can degrade plant communities. In some instances elephant disturbance may facilitate fire disturbance in future. The management should focus on restoring spatial and temporal limitation of resource gradients such as water, and on how elephants use landscapes, while protecting unique plant communities in the interim.

Additional key words: plant species composition, vegetation structure, Euclidean distance

Les éléphants et l’incendie peuvent modifier les écosystèmes de la savane africaine. Les auteurs ont évalué l’influence des éléphants et des incendies sur cinq communautés de plantes montagneuses dans le parc national Marakele. On a étudié ces communautés végétales de 1996 à 2010 avec le premier échantillonnage fait en 1996 en l’absence des éléphants. A l’origine, trente-neuf éléphants, introduits en 1996, se sont multipliés jusqu’à 150 en 2010 alors que les incendies se produisaient approximativement tous les deux ans. Au cours de cette période, la végétation a changé et, dans quatre cas sur cinq, ceux associés aux indices de dommages structurels semblaient refléter les effets des éléphants. L’incendie a joué un rôle dans l’une des cinq communautés de plantes montagneuses. L’expansion des zones disponibles pour les éléphants a entraîné en partie l’arrêt des changements de végétation. Les auteurs concluent que les gradients de ressources existants imposent toujours une intensité d’utilisation par les éléphants qui peuvent dégrader les communautés végétales. Dans certains cas, la perturbation par les éléphants peut faciliter celle de l’incendie à l’avenir. La gestion devrait se concentrer sur la restauration de la limitation spatiale et temporelle des gradients de ressources, comme l’eau, et sur la façon dont les éléphants utilisent les paysages tout en protégeant les communautés végétales uniques dans l’entre-temps.

Mots clés supplémentaires: composition des espèces végétales, structure végétale, distance euclidienne

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Published

2020-11-11

How to Cite

van Staden, P., Bezuidenhout, H., Ferreira, S., & Bredenkamp, G. (2020). The effects of elephants and fire on vegetation at Marakele National Park, South Africa. Pachyderm, 58, 107–122. Retrieved from https://pachydermjournal.org/index.php/pachyderm/article/view/423

Issue

Section

Research