Progress on the Kenya black rhino Action Plan (2017-2021)

Authors

  • Cedric Khayale Kenya Wildlife Service, P.O. Box 40241-00100, Nairobi, Kenya
  • Linus Kariuki Kenya Wildlife Service, P.O. Box 40241-00100, Nairobi, Kenya
  • Geoffrey Chege Lewa Wildlife Conservancy, Isiolo 60300, Kenya
  • Mxolisi Sibanda WWF-UK, Living Planet Centre, Woking, Surrey
  • Martin Mulama WWF-Kenya, Nairobi, Kenya
  • Benson Okita-Ouma Save the Elephants, Nairobi, Kenya
  • Rajan Amin 6 Zoological Society of London, Regents Park, London; corresponding author email: raj.amin@zsl.org

DOI:

https://doi.org/10.69649/pachyderm.v61i.63

Abstract

Kenya conserves 75% of the eastern black rhino sub species Diceros bicornis michaeli, which is listed as Critically Endangered by the International Union for Conservation of Nature (IUCN, Emslie 2020). The species gradual recovery has been guided by a series of national five-year conservation action plans or strategies, following its dramatic decline from around 20,000 animals in the early 1970s to less than 350 by the late 1980s.

The 2017-2021 Action Plan was developed and implemented following a difficult period between 2012-2016, which saw poaching reach its highest level since the late 1980s.  The Plan sets five strategic objectives to achieve the national goal of increasing rhino numbers by a minimum 5% in established populations with a national meta-population of 830 animals by 2021, and eventually 2000 animals residing in their natural habitat (Amin et al. 2017). Significant progress has been made with numbers up to 794 animals (end of 2019) and poaching reduced to less than 1% per annum since 2016. There is renewed vigour to complete planned activities and implement new ones as part of adaptive management. Resources are being ploughed into upgrading rhino capture and veterinary equipment and training staff. Protocols for rhino monitoring, immobilisation, translocation, and disease surveillance and vaccination have been enhanced and operationalized. Closely linked to this, capacity building is being undertaken and development of specialised courses such as the Rhino Protected Area Management Course has been initiated. Rhino range is being expanded into secure suitable habitats in central Kenya and the Tsavo ecosystem to sustain population growth. Assessments of populations, which are currently non-viable, are being undertaken and recovery plans being developed. Rhino DNA profiling is being scaled up to support meta-population management. Ecological carrying capacities of existing sites are also being revised based on established methods. Communication has been enhanced and lessons learnt from the Tsavo East rhino translocation tragedy of 2018.

The Action Plan has brought in a new component on sustained financing. The COVID-19 pandemic has further highlighted the critical importance of a contingency fund as revenue through tourism and funding from donors has been significantly reduced (to date: July 2020[1]). In due course, Kenya will start planning the development of the 2022-2026 Action Plan. The development of the next five-year Action Plan will require adequate funding so that it can be ready when the current Plan concludes. A thorough review of progress of the current Action Plan will be undertaken at the end of its term, and lessons learnt and new best practices from elsewhere, such as the Rhino Manager’s Handbook (Balfour et al. 2019), integrated.

Keywords: biological management, poaching, security, conservation

Résumé

Le Kenya conserve 75% de la sous-espèce du rhinocéros noir de l'Est Diceros bicornis michaeli, qui est classée « En Danger Critique d'Extinction » par l'Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN, Emslie 2020). Le rétablissement progressif de l'espèce a été guidé par une série de plans d'action ou stratégies de conservation quinquennaux nationaux, après son déclin dramatique de plus ou moins 20 000 animaux au début des années 70 à moins de 350 à la fin des années 80.

Le Plan d'action 2017-2021 fait suite à une période difficile entre 2012-2016, qui a vu le braconnage atteindre son plus haut niveau depuis la fin des années 1980. Le Plan fixe cinq objectifs stratégiques pour atteindre l'objectif national d'augmenter le nombre de rhinocéros d'au moins 5% dans les populations établies avec une métapopulation nationale de 830 animaux d'ici 2021, et à terme de 2000 animaux dans son habitat naturel (Amin et al. 2017). Des progrès significatifs ont été réalisés avec des effectifs allant jusqu'à 794 animaux (fin 2019) et le braconnage réduit à moins de 1% par an depuis 2016. Il y a un dynamisme renouvelé pour achever les activités prévues et en réaliser de nouvelles dans le cadre de la gestion adaptative. Des ressources sont consacrées à la modernisation des équipements de capture des rhinocéros et de l'équipement vétérinaire et à la formation du personnel. Les protocoles de surveillance, d'immobilisation, de transfert, de surveillance des maladies et de vaccination des rhinocéros ont été améliorés et opérationnalisés. Étroitement lié à cela, le renforcement des capacités est en cours et le développement de cours spécialisés tels que le Cours de gestion des aires protégées des rhinos a été lancé. L'aire de répartition des rhinocéros est en cours d'extension dans des habitats appropriés et sûrs dans le centre du Kenya et dans l'écosystème du Tsavo pour soutenir la croissance démographique. Des évaluations des populations qui sont actuellement non viables, sont entreprises et des plans de rétablissement sont en cours d'élaboration. Le profilage ADN des rhinocéros est en cours d'extension pour prendre en charge la gestion des métapopulations. Les capacités écologiques des sites existants sont également en cours de révision sur la base des méthodes établies. La communication a été améliorée et des leçons tirées de la tragédie du transfert de rhinocéros du Tsavo Est en 2018.

Le plan d'action a introduit une nouvelle composante sur le financement durable. La pandémie COVID-19 a en outre mis en évidence l'importance cruciale d'un fonds de réserve, car les revenus du tourisme et le financement des donateurs ont été considérablement réduits (à ce jour: juillet 2020¹).

Le moment venu, le Kenya commencera à planifier l'élaboration du Plan d'action 2022-2026. L'élaboration du prochain plan d'action quinquennal nécessitera un financement adéquat pour qu'il puisse être prêt lorsque le plan actuel prendra fin. Un examen approfondi des progrès du Plan d'action actuel sera entrepris à la fin de son mandat, et les leçons tirées et les pratiques exemplaires suivies ailleurs, telles que le Manuel du gestionnaire de rhinocéros (Balfour et al. 2019), seront intégrées.

Mots clés: gestion biologique, braconnage, sécurité, conservation

 

 

Downloads

Published

2020-10-08 — Updated on 2020-11-11

Versions

How to Cite

Khayale, C. ., Kariuki, L., Chege, G., Sibanda, M. ., Mulama, M., Okita-Ouma, B., & Amin, R. (2020). Progress on the Kenya black rhino Action Plan (2017-2021). Pachyderm, 61, 109–119. https://doi.org/10.69649/pachyderm.v61i.63 (Original work published October 8, 2020)

Issue

Section

Management