A Test of the Enhanced Vegetation Index as an indicator of human–elephant conflict around Bia Conservation Area, Ghana

Authors

  • Jessica-Jane Lavelle

DOI:

https://doi.org/10.69649/pachyderm.v59i.80

Abstract

Human–elephant conflict (HEC) occurs across Africa and is a major threat to the continued existence of the African elephant. To effectively and efficiently implement mitigation measures, a thorough understanding of the spatial and temporal patterns of HEC is required. This study used a systematic, grid-based geographic information system to analyse the spatial and temporal relations between HEC onset and intensity in 2004 and 2008 and underlying environmental variables in a forest habitat, the Bia Conservation Area, Ghana. Relationships between crop-raiding incident data, Moderate Resolution Imaging Spectroradiometer (MODIS) Enhanced Vegetation Index (EVI) values and remotely sensed derived data were investigated at a 10 km 2 scale using principal component analysis and correlation analysis. The onset of crop-raiding in 2004 and 2008 can be attributed to seasonal variation in vegetation biomass. Decreases in EVI values were matched to an increase in crop-raiding incidents. HEC intensity was not significantly related to the environmental variables analysed at the 10 km 2 scale. These results suggest that HEC intensity may be influenced by vegetation quality, soil mineral content and/or human density. The methods used in this study could be applied to other forest habitats experiencing HEC for comparative analysis. The influence of vegetation quality, soil mineral content and human density on HEC intensity in forest habitats requires further analysis.

Le conflit homme-éléphant (CHE) se produit en Afrique et constitue une menace majeure pour l'existence continue de l'éléphant d'Afrique. Pour mettre en œuvre effectivement et efficacement les mesures d'atténuation, une compréhension approfondie des modèles spatio-temporels du CHE est requise. Cette étude a utilisé un système systématique d'information géographique basé sur la grille pour analyser les relations spatiales et temporelles entre l'apparition et l'intensité du CHE en 2004 et 2008 et les variables environnementales sous-jacentes dans un habitat forestier, la zone de conservation de Bia, au Ghana. Les relations entre les données sur les incidents de maraude des cultures, les valeurs de l'Indice de Végétation Améliorée (IVA) et les données dérivées détectées à distance par le Radiomètre Spectral pour Imagerie de Résolution Moyenne (MODIS) ont été étudiées à une échelle de 10 km 2 en utilisant l'analyse des composantes principales et l'analyse de corrélation. On peut attribuer le déclenchement de la maraude des cultures en 2004 et 2008 à la variation saisonnière de la biomasse végétale. Les diminutions des valeurs IVA ont été accompagnées par une augmentation des incidents de maraude des cultures. L'intensité du CHE n'était pas significativement liée aux variables environnementales analysées à l'échelle de 10 km 2 . Ces résultats suggèrent que l'intensité du CHE peut être influencée par la qualité de la végétation, la teneur en minéraux du sol et/ou la densité humaine. On pourrait appliquer les méthodes utilisées dans cette étude à d'autres habitats forestiers qui connaissent le CHE pour une analyse comparative. L'influence de la qualité de la végétation, de la teneur en minéraux du sol et de la densité humaine sur l'intensité du CHE dans les habitats forestiers nécessite une analyse plus approfondie.

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Published

2018-10-03

How to Cite

Lavelle, J.-J. (2018). A Test of the Enhanced Vegetation Index as an indicator of human–elephant conflict around Bia Conservation Area, Ghana. Pachyderm, 59, 49–55. https://doi.org/10.69649/pachyderm.v59i.80

Issue

Section

Research