@article{Stiles_Martin_2009, title={The USA’s ivory markets—how much a threat to elephants?}, volume={45}, url={https://pachydermjournal.org/index.php/pachyderm/article/view/168}, abstractNote={<p>This article gives the principal findings of the first quantitative survey of the main towns and cities selling elephant ivory in the USA. The survey took place in 2006–7 with numbers and types of outlets, ivory items and prices recorded. Information was also collected on imports, craftsmen, buyers, law enforcement efforts and views about the future demand for ivory. We counted about 24,000 ivory items in nearly 660 outlets in 16 survey localities. While vendors say they are selling much less ivory nowadays, as demand has declined since the 1990 CITES ban, there has been a recent increase in ivory for sale on the Internet, with inadequate control measures in place. Most buyers are residents of the USA. New York City had the most items for sale, and most were antiques. East Asians have been smuggling in recently-carved items from Hong Kong and China in fairly significant quantities; these communities are selling worked ivory mainly in Honolulu, Los Angeles and San Francisco. Their outlets are not adequately checked and very few seizures have been made. These are probably the main outlets, along with the Internet, for recent (post CITES ban) ivory. Craftsmen work only part-time in ivory and number 120 to 200. They do repair work or craft small amounts and thus they require only small pieces of ivory, with enough being recycled in the USA to meet most of their demands.</p> <p>Cet article donne les conclusions principales de la première étude quantitative des villes principales qui vendent l’ivoire des éléphants aux Etats-Unis. L’étude a eu lieu en 2006–7, en enregistrant les chiffres et les types de débouchés, les articles en ivoire et les prix. Les informations ont aussi été rassemblées sur les importations, les artisans, les acheteurs, les efforts de la police et les opinions sur la demande future pour l’ivoire. Nous avons dénombré approximativement 24.000 articles en ivoire dans presque 660 débouchés dans 16 localités de l’étude. Alors que les vendeurs disent qu’ils vendent beaucoup moins d’ivoire actuellement suite à la baisse de la demande depuis l’interdiction par la CITES en 1990, il y a eu une augmentation récente dans l’ivoire en vente sur l’Internet, avec les mesures de contrôle inadéquates en place. La plupart des acheteurs résident aux Etats-Unis. La ville de New York avait le plus d’articles en vente, et la plupart étaient des antiquités. Les Est-Asiatiques passent en contrebande des articles récemment sculptés à partir de Hong-Kong et de la Chine en quantités assez considérables; ces communautés vendent principalement de l’ivoire travaillé à Honolulu, Los Angeles et San Francisco. Leurs débouchés ne sont pas suffisamment contrôlés et très peu de saisies ont été faites. Ce sont probablement les débouchés principaux, avec aussi l’Internet, pour l’ivoire récent (après l’interdiction de la CITES). Les artisans travaillent seulement à mi-temps sur l’ivoire et se comptent de 120 à 200. Ils font des réparations ou travaillent sur de petites quantités, donc ils exigent seulement de petits morceaux d’ivoire et assez en est recyclé aux Etats-Unis pour satisfaire la plupart de leurs demandes.</p>}, journal={Pachyderm}, author={Stiles, Daniel and Martin, Esmond}, year={2009}, month={Jun.}, pages={67–76} }