@article{Ngene_Njumbi_Nzisa_Kimitei_Mukeka_Muya_Ihwagi_Omondi_2013, title={Status and trends of the elephant population in the Tsavo–Mkomazi ecosystem}, volume={53}, url={https://pachydermjournal.org/index.php/pachyderm/article/view/322}, abstractNote={<p>This paper updates the data on the population status of elephants in the Tsavo–Mkomazi ecosystem. Data were acquired through aerial census of elephants in the ecosystem, from 7 to 12 February 2011. The census covered an area approximately 48,319 km 2 , which was divided into 44 counting blocks. Each block was assigned to a specific aircraft; the crew consisted of a pilot, front-seat observer and two rear-seat observers for the four-seater light aircraft, and a pilot and an observer for a two-seater light aircraft. The census lasted five days and involved nine light aircraft and about 252 hours of actual counting time, representing a mean search rate of about 191 km 2 /hr. A total of 12,573 elephants were counted, indicating a modest increase of 2% after the 2008 census and a 96% increase after the 1988 census (n = 6,399). Most elephants (69%, n = 8,614 individuals) were counted inside the protected areas; about 31% (n = 3,859 individuals) were outside protected areas. About 50% of the elephants (n = 6,214) were in Tsavo East National Park, 22% (n = 2,751) in the Taita ranches and 17% (n = 2,142) in Tsavo West National Park. A programme of providing water to elephants in the northern parts of Tsavo is recommended as well as electric fencing and establishment of administration and security structures at South Kitui National Reserve. This will create more space for the increasing population of elephants as well as improve their security.</p> <p>Additional key words: aerial census, carcass, drought</p> <p>Ce document met à jour les donnés sur la situation des populations d’éléphants dans l’écosystème de Tsavo-Mkomazi. Les données ont été acquises grâce à un recensement aérien des éléphants dans l’écosystème, du 7 au 12 février 2011. Ce recensement a couvert une superficie d’environ 48.319 km 2 , qui était divisée en 44 blocs de comptage. On avait assigné à chaque bloc un avion spécifique, l’équipage étant composé, pour l’avion léger à quatre places, d’un pilote, d’un observateur sur le siège avant et de deux observateurs sur le siège arrière, et pour un avion léger biplace, d’un pilote et d’un observateur. Le recensement, auquel ont participé neuf avions légers, a pris cinq jours et environ 252 heures de temps de comptage réel, ce qui représente un taux de recherche moyen d’environ 191 km 2 /heure. Un total de 12.573 éléphants ont été dénombrés, ce qui indique une légère augmentation de 2% après le recensement de 2008 et une augmentation de 96% après le recensement de1988 (n = 6.399). La majorité des éléphants (69%, n = 8.614 éléphants) ont été comptés à l’intérieur des aires protégées; environ 31% (n = 3.859 éléphants) étaient en dehors des aires protégées. Environ 50% des éléphants (n = 6,214) étaient dans le Parc national de Tsavo-Est, 22% (n = 2,751) dans les ranchs de Taita et 17% (n = 2,142) dans le Parc national de Tsavo Ouest. Un programme d’approvisionnement en eau pour les éléphants au nord de Tsavo est recommandé ainsi que les clôtures électriques et une mise en place des structures administratives et sécuritaires dans la Réserve nationale du sud-Kitui. Cela va créer plus d’espace pour l’augmentation de la population d’éléphants ainsi qu’améliorer leur sécurité.</p> <p>Mots clés supplémentaires : recensement aérien, carcasse, sécheresse</p>}, journal={Pachyderm}, author={Ngene, Shadrack and Njumbi, Steve and Nzisa, Martha and Kimitei, Kenneth and Mukeka, Joseph and Muya, Shadrack and Ihwagi, Festus and Omondi, Patrick}, year={2013}, month={Jun.}, pages={38–50} }